En hommage à Claudine et François Bansard
qui nous ont si souvent accueillis au 26, av de la Bourdonnais
leurs amis vous proposent
du 22 au 28 septembre
une rétrospective où chacun exposera une oeuvre
et vous convient au
VERNISSAGE
jeudi 22 septembre
de 18 à 20h30
Mairie du 7ème
116 rue de Grenelle
75 007 Paris
M° Solférino
Ouvert de 11h à 18h
fermé le dimanche
PSAUME 138
Tu me scrutes, Seigneur, et tu sais !
Tu sais quand je m’assois, quand je me lève ; de très loin, tu pénètres mes pensées.
Que je marche ou me repose, tu le vois, tous mes chemins te sont familiers.
Avant qu’un mot ne parvienne à mes lèvres, déjà, Seigneur, tu le sais.
Tu me devances et me poursuis, tu m’enserres, tu as mis la main sur moi.
Savoir prodigieux qui me dépasse, hauteur que je ne puis atteindre !
Où donc aller, loin de ton souffle ? où m’enfuir, loin de ta face ?
Je gravis les cieux : tu es là ; je descends chez les morts : te voici.
Je prends les ailes de l’aurore et me pose au-delà des mers :
même là, ta main me conduit, ta main droite me saisit.
J’avais dit : « Les ténèbres m’écrasent ! » mais la nuit devient lumière autour de moi.
Même la ténèbre pour toi n’est pas ténèbre, et la nuit comme le jour est lumière !
C’est toi qui as créé mes reins, qui m’as tissé dans le sein de ma mère.
Je reconnais devant toi le prodige, l’être étonnant que je suis : * étonnantes sont tes oeuvres toute mon âme le sait.
Mes os n’étaient pas cachés pour toi * quand j’étais façonné dans le secret, modelé aux entrailles de la terre.
La Divine comédie
Enfer et enfers, purgatoire et Paradis